Candidature Minhalet de la Maison Ancresoleil [En Attente]

Informations administratives

 
Nom : Ieralwen (Mordingard)
Prénom : Minhalet,
Âge : Vint-deux ans
Race : Deux quarts thalassiens pour deux quarts humains
Origine : Île de Grès, Royaume de Kul Tiras, Archipel de Mysir, terres régies par la souveraineté du Vicomte BArtimée d'Éléos
Taille : 1 mètre 76
Poids : 53 kilos
Occupation/métier : Sorcière, spécialisée en destruction, ayant quelques notions en l'apprentissage de l'enchantement. Lequel m'est inculqué par Findol Ancresoleil, Grand Enchanteur et Maître Sorcier.
Classe sociale : Ratachée il y a peu à l'héritage d'une maison Noble Quel'Dorei.
 
 

Informations familiales :

Père :Victelius Ieralwen, un mage de renom dont le père était issu de la haute société quel’dorei. Il a été formé et encadré par un mage très puissant avant de malheureusement périr à Theramore aux côtés des défenses.

Mère : Eldreith Mordingard, engagée dans le corps médical de la marine de Boralus dès l'an 23 et part à la conquête de Kalimdor, vers la future Theramore. Là bas, elle y servira comme prêtresse, au sein même de la milice, où elle y est nommée  Sergent. Elle joignit la Garde de Hurlevent peu après la campagne contre Garrosh, après quoi elle finit par rejoindre une faction fanatique de hérauts de la Lumière, appelée la Phalange d'Albâtre. Elle est morte dans l'effort de cette croisade contre les réprouvés.

Frère/soeur : Feyrelith Ieralwen, instructrice de monte dans les services de la Garde de Hurlevent.

Conjoint : Neliel Irétoile, sergent des archers de Rauros et ancien membre du Concordat Argenté.

Enfants : /
 
 

Questionnaire :

Quelles sont vos principales expériences passées ?
→J'ai été  d'abord au service d'une maison noble puis la vie de nomade m'a amenée au mercenariat. J'ai à mon actif une année de service dans les rangs de la célèbre compagnie de la Rétribution. J'ai suivi le Lieutenant de cette préstigieuse guilde, le Maître Enchanteur Ancresoleil, lorsqu'il est parti de cette dernière afin de s'installer dans ses terres en Elwynn. Là bas, j'y ai perfectionné mes talents d'arcanistes.

Avez-vous des compétences pouvant être utiles à la Colonie ? Si oui, lesquels ?
→Ma qualité de mage peut servir autant à des fins de défenses qu'à l'utilitaire. Mes pairs m'ayant fourni assez de savoir pour que je puisse enchanter certains objets du quotidien, et ainsi, espérer soulager les citoyens de Rarros dans leurs efforts quotidiens.

Quelles sont vos motivations à rejoindre cette Colonie ?
→ Entant qu'apprentie, je suis amenée à parfaire ma formation. Pour cela, mon Maître préconise le voyage. L'ouverture d'esprit est, selon toute vraisemblance, une arme à ajouter à mon arsenal. J'espère donc pouvoir aider, et m'essayer à la simplicité d'une vie coloniale. Mettre la main à la patte et trouver un endroit qui a besoin de moi, pourrait même, selon mon Maître, me faire perdre cet orgueil mal placé qui me sied si mal.

En somme, j'aimerais me trouver un endroit où être utile, et ou tout recommencer. Je tourne en rond dans cette cours et j'aimerais avoir une chance de vous être utile. Chaque mage a une place en ce monde, j'aimerais que la mienne soit à vos côtés.

Dame Minhalet,

J'accuse réception de votre candidature.

Laissez moi avant tout vous remercier pour l'intérêt accordé à notre modeste colonie. Je lis vos mots, et j'y trouve des parallèles avec ma propre histoire, mais également celles de plusieurs des nôtres.

Nous avons longtemps été hésitants quant à l'inclusion des arcanistes au sein de Verbourg. Le dilemme fut souvent présent, entre les préjugés qui subsistent dans l'esprit de certains quant aux règles fondamentales de la magie, de la corruption que celle-ci a eu tendance à porter quelque part en son sein, mais également de l'atout que les arcanes représentent en tant que force de frappe, et de moteur de progression.
Pourtant, c'est à l'encontre des préjugés, de la peur et du risque que Verbourg se dresse fièrement au cœur des Grisonnes, dans un continent que le monde aurait préféré oublier. C'est dans ce même esprit que je ne vous considère pas comme un risque, rassurez-vous, mais plutôt comme un potentiel membre de notre famille.

Et comme chaque candidature que je lis, je me vois toujours amenée à considérer ce que Verbourg puisse offrir à ceux qui cherchent un nouveau départ au nord. La réalité étant qu'avec vous, je ne peux que promettre un soutien dans votre quête personnelle. En arpentant le Norfendre, nous avons souvent été confrontés aux arcanes dans leur forme la plus brute, pure et indomptable. Que ce soit dans les vestiges des vols draconiques dont les sanctuaires sont voisins ou encore dans les forêts cristallisées au nord. Souvent source de migraines pour nous, j'ose croire que pour des apprentis dans la voie de l'ordre, il s'agirait de leçons pratiques d'une certaine valeur.

Mais avant de recruter une sorcière, c'est surtout comme un individu que nous vous considérons. Les choses sont rarement faciles ici, les tensions souvent présentes, mais la camaraderie est notre idée régulatrice. Quand à la simplicité de la vie coloniale, elle se dessine surtout comme un objectif que nous cherchons à atteindre, malgré les mille et un obstacles dans notre chemin.

Si votre volonté est toujours de nous rejoindre, l’Étourneau, notre modeste navire sera au port de Hurlevent le soir du 20ème jour de ce mois pour accueillir la nouvelle vague de colons. Le capitaine Harry Eriksen, notre allié et ami, fera tout ce qui est en son pouvoir pour vous ramener à Valgarde, où nous vous attendrons pour parler à vive voix de ce qui nous attend.

En attendant, qu'Elle vous garde.

Hezel Von Scheel.

Madame Von Scheel,

Je ne pourrais malheureusement pas me tenir prête pour le 20e jour de ce mois ci. Il me faut davantage de temps, pour réunir mes affaires, et faire mes adieux à mes proches. Pour l'heure j'habite au 9 quai des tisseurs chez ma soeur cadette et mon grand-père, en la capitale de l'Alliance.  Je prendrais ce qui me paraît le plus utile pour les  conditions de vie de Verbourg et partirais dès que je le pourrais. Ce faisant, l'on m'a proposé un portail, mais je gage que le coût ne soit trop élevé aussi, je prendrais certainement les transports encore en vigueur dans les alentours et emprunterai de quoi gagner la distance qui séparera le port de vos terres.

Je vous remercie de faire preuve d'autant de mesure dans votre recrutement, cela me conforte dans l'idée que j'ai de votre colonie et de ses institutions.  Cela me pousse à me confier à vous, quant aux craintes qui m'ont amené à rester réticente, longtemps, face à l'idée d'un voyage, et d'une vie, loin de mon maître. La vérité est, qu'avant d'être le mage que je suis, j'ai longtemps considéré le monde qui m'entourait comme un nid de haine et de mépris. Je déposais un oeil emprunt de haine et d'orgueil, sur toute personne qui croisait mon chemin. La Retribution m'a énormément changé à ce niveau, l'entraide, la fraternité et le travail d'équipe ça me connait. Mais, une mission, en particulier, m'a beaucoup appris, et ce au détriment d'une certaine innocence, propre à chacun de nous. Nous nous sommes dirigés dans le tréfonds des mondes. Un endroit que nous appelions "le Donjon". Une place forte des folies dévastatrices et chaotiques des Anciens Dieux, comme peu d'autres en Azeroth. Les choses qui s'y sont passées ont perturbé beaucoup des nôtres. Certains essayaient d'oublier en buvant, d'autres ne dormaient plus, certains encore, priaient pour qu'on les fassent oublier. Ces missions étaient éreintantes, et bien qu'elles me permirent de me forger une résilience particulière, je me suis engagée à ne plus vivre ce genre de mésaventures, aussi vous demanderais-je de bien vouloir me pardonner si d'aventure je pouvais me montrer réticente lors de mes premiers jours, à m'exposer aux autres. Je susi d'humeur taciturne depuis.

Merci pour votre réponse,